On a toujours adoré la façon dont Kēpa, un des chouchous français des Nuits de l’Alligator, chante et joue du blues. A sa façon, justement. Loin de l’académisme ou de la parodie mais plus haut, à la recherche d’une transe mélodique et rythmique. Sa quête se poursuit aujourd’hui avec une nouvelle musique totalement instrumentale, à base de guitares et de grands espaces, sur Terre ou au-delà. En avant-première d’un album enregistré avec Taylor Kirk de Timber Timbre, ce retour de Kēpa promet un grand moment d’hypnose hallucinogène.
CONCERTS
Samedi 01 février – Paris / La Maroquinerie – TICKETS